Il y a des jours, comme ça, ou le sens de la vie s'échappe, aussi loin que possible, se perdant dans l'horizon, plongeant l'animal dans une torpeur sans fin, de laquelle s'enfuir est impossible. Je voudrait sortir de ce cauchemar et enfin vivre ces rêves d'enfants qui depuis longtemps se sont envolés. Et la meute imbécile se complaît dans l'utopie d'un bonheur qu'elle ne connaîtra jamais. Et ils chassent le solitaire, la différence dérangeant le plus grand nombre.
Et j'hurle mon désespoir à la lune, elle qui seule m'entendra j'en suis sur.
No one will ever change this animal I have become if you don't.
No need to speech about this....